J'ai commencé à méditer en 2018 et ça a tout bouleversé :
La façon dont je mange, la façon dont je dors, la façon dont je crée. Je n'ai plus les mêmes amis, plus les mêmes habitudes, plus les mêmes objectifs. Plus les mêmes angoisses.
Le principal déclic :
J'ai réalisé que de nombreux aspects de ma vie que je prenais pour des réalités immuables étaient en fait... des pensées.
Comme si j'avais vécu quarante ans dans ma tête et que la méditation était le premier moment où j'apercevais le monde sans filtre. (Ou disons : avec moins de filtres.)
On réalise que l'identité, les problèmes, le futur (...) sont des constructions mentales qu'on peut choisir d'entretenir ou d'abandonner.
On comprend que le monde extérieur est un reflet du monde intérieur et que c'est donc là que tout se joue.
On apprend à baisser le volume de la petite voix dans la tête qui critique tout. Jusqu'à l'éteindre complètement, parfois.
Et je vous promets que ça enlève un poids.
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