Aller au contenu principal

Une note par jour 👇

Aaaahhhhh 😄

Ça va mieux.

Les courbatures, les maux de tête, la faiblesse... tout l'état grippal a un peu foutu le camp.

Ce n'était pas si méchant que ça, mais c'était la combinaison de la maladie avec l'emploi du temps qui a rendu ça intense.

Ce qui m'a beaucoup aidé : le journal, hier.

Comme j'avais rattrapé le retard sur tout ce que j'avais à faire, j'ai pu écrire dans mon journal.

À une époque, c'était une habitude quotidienne et donc il y avait des jours où ça ne servait plus à grand chose. Mais hier, après presque deux semaines sans (ou très peu), je me suis à nouveau rendu compte à quel point c'est important.

C'est l'endroit où l'on peut vider sa tête et comprendre par observation directe où sont les nœuds. Ceux qui nous bloquaient depuis des semaines, parfois des mois.

Une habitude essentielle d'hygiène mentale.

19/12/25 journal

La compétition des journaux

Je réalise que ces notes quotidiennes entrent en compétition avec mon journal personnel.

C'est de plus en plus rare que j'écrive dans mon journal. Souvent parce que je consacre les premiers moments de la matinée à écrire une note ici-même.

Or, mon journal, c'est mon moteur.

C'est là où je peux réfléchir aux choses sans me soucier des regards extérieurs, de l'approbation des autres, du succès public, de rien.

J'y déverse ce qui me gêne, je décris les obstacles qui me bloquent, je note les pensées que je ne veux pas oublier.

Surtout : je trie les notes que j'accumule au cours de la journée. Je les confronte. J'en tire des leçons.

Mais maintenant que mon activité professionnelle et personnelle ont un peu décollé en même temps, je réalise que je dois être plus sélectif sur ce à quoi je consacre mon temps.

D'autant qu'écrire une note quotidienne entre également en compétition avec ma vidéo quotidienne.

Donc je vais faire deux choses :

  1. Remettre les stats (que j'avais volontairement arrêtées) pour voir si l'arrêt des notes quotidiennes aurait vraiment de grosses conséquences
  2. Commencer à réfléchir à un autre format.

Je veux absolument conserver une activité ici. Mais je me dis que les réseaux sont faits spécialement pour ce qui est éphémère : les vidéos quotidiennes y ont leur place.

Mais ici, je pourrais davantage présenter des travaux plus longs, plus travaillés, qui ne soient pas redondants avec le reste.

À réfléchir.

18/12/25 journal productivité

Que vais-je faire de ce journal ?

C'est une question que je me pose à haute voix.

Souvent, je suis pressé et je ne suis pas certain que les quelques mots que je jette ici aient un quelconque intérêt.

En même temps, ça m'oblige chaque matin à faire l'exercice suivant :

  1. Chercher en moi ce qui est vrai et sincère,
  2. L'exprimer de façon à ce que ce soit compréhensible par d'autres.

En cela, c'est différent de mon journal personnel où je m'en tiens à l'étape 1.

Quand même, je me demande si je ne vais pas faire évoluer tout ça.

Je me pose la même question pour mes vidéos quotidiennes. Un moment, je vais en avoir marre de parler de méditation et de création, non ? Ça commence déjà.

Je crois que j'aimerais davantage créer quotidiennement (fiction, abstraction, poésie ?) mais je ne vois pas encore quoi ni comment.

Toutefois, je pense que la meilleure façon de transformer cette activité, c'est de la continuer. Avec la même régularité. Continuer à faire ce qui est facile, surtout quand je n'ai pas le temps.

C'est comme ça qu'on trouve ce qui est aligné.

17/12/25 journal création social

En vrac

Malade, avec plein de choses à faire.

Des vidéos, des rendez-vous de boulot, des rendus.

Le moral est bon.

Il y a un an, j'avais de gros doutes sur ma capacité à gagner ma vie. J'ai traversé des moments un peu compliqués. Maintenant, j'ai trouvé quelque chose qui fonctionne à peu près.

De manière générale, je crois que j'ai compris certaines choses très importantes sur la communication.

Ça m'a permis de faire décoller ma chaîne personnelle. Ça m'a permis de trouver des clients pour ChezFilms et de les aider vraiment. (Les retours sont excellents.)

Mais surtout : ça va me permettre de mieux communiquer sur mes projets à moi.

Quand je serai un peu plus à flot financièrement, je serai plus à même de faire exister mes projets artistiques, autant pour les financer, les produire, que les diffuser.

Mais pour aujourd'hui, on va se contenter de gérer le mal de dos et les maux de tête en rendez-vous client...

16/12/25 journal productivité communication chezfilms

En retard sur tout !

J'ai eu mon fils deux weekends de suite en Normandie, donc j'ai pris du retard sur le tournage des vidéos pros (que je fais normalement le weekend).

Et comme j'ai des rendez-vous presque tous les jours (ChezFilms décolle, c'est bien), je n'ai pas eu le temps de rattraper le retard sur ce blog.

Et j'ai plein de rendus clients qui attendent.

Ah, et je suis malade. Je tousse et j'ai le dos en vrac.

Normalement, j'ajoute mes posts du weekend le dimanche ou le lundi, ni vu ni connu. Mais là, je ne vais même pas faire semblant. On reprend le journal aujourd'hui.

Bonne semaine à tous :)

15/12/25 journal chezfilms productivité

Maison des Auteurs de la SACD

Je vais encore souvent à la Maison des Auteurs de la SACD.

Pour écrire, pour travailler, pour des rendez-vous, pour des projections. (Les auteurs peuvent y louer des bureaux gratuitement.)

La Maison des Auteurs, comme les bureaux de la SACD d'ailleurs, sont des lieux où l'on se sent bienvenu.

Les gens qui y travaillent sont gentils, à l'écoute, disponibles.

On voit que les choses ont été pensées pour être simples, accessibles, accueillantes. L'humain est au cœur, et pas juste un annexe d'un système organisé pour les machines.

C'est suffisamment rare pour le remarquer.

Et pour l'émuler.

12/12/25 journal social

Prochain objectif

J'en ai déjà parlé mais maintenant je vais être radical :

Je vais faire mes vidéos quotidiennes en une seule prise.

Deux, au maximum.

Dans la récente série que j'ai faite sur la méditation, il m'arrivait de reprendre plusieurs dizaines de fois parce que je trouvais que telle ou telle partie n'était pas claire.

Et pour la méditation, ça avait du sens : je parle de choses sur lesquelles il faut être précis pour ne pas égarer les gens.

Mais maintenant : fini. Il faut que ce soit simple. Je ne dois pas m'accrocher à des aspects secondaires : si je bégaye, si le son n'est pas parfait, si je dois m'y reprendre plusieurs fois en live pour expliquer une idée, ça ira très bien.

L'objectif, c'est que ce soit facile. Trouver le public qui aime ce côté brut, personnel, improvisé.

Et non pas attirer un public qui aime le côté très clair et construit des vidéos qui me prennent trop de temps.

On en revient toujours à la même citation d'Arlan Hamilton : "Soyez vous-même pour que les gens qui vous aiment puissent vous trouver."

Et donc, à l'inverse : ne faites pas d'efforts inutiles pour attirer les gens qui ne vous aiment pas.

11/12/25 journal création social

Quand il n'y a rien au fond

Ma technique pour créer mes notes de blog ou mes vidéos quotidiennes est la suivante :

Soit une idée me vient. Alors si je peux, je prends mon téléphone et je l'enregistre tout de suite.

Soit, notamment pour les notes de blog, c'est le bon moment pour écrire – parce que je n'aurai plus le temps après, par exemple. Souvent le matin avec le café.

Alors je fais une pause et je cherche ce qu'il y a au fond.

Autrement dit : si j'arrête toute activité, de penser, de prévoir, y a-t-il quelque chose qui s'agite au fond de moi ? Y a-t-il un problème, une idée ou une nouvelle façon de voir venue pendant la méditation que je pourrais partager ici ?

Je trouve toujours.

Mais récemment, j'arrive peut-être à la fin d'un cycle.

Mes vidéos sur la vie et sur la méditation ont très bien marché. Je suis content de mes posts ici, également. Mais je crois que j'ai envie de passer à autre chose. Quand je regarde au fond, je ne trouve pas la même excitation pour ces sujets.

Soyons clairs : je vais continuer à poster une vidéo et une note par jour. Mais il ne faut pas que je me laisse piéger par ce qui a marché. La source, c'est l'excitation intérieure.

Je dois suivre mon fil – même si tout le monde se désabonne.

10/12/25 journal création

À la pêche

Vous le savez : quand je poste une photo, c'est que je n'ai pas le temps de poster autre chose...

D'autant que c'est une vieille photo, qui a au moins 10 ans.

En rapport avec rien.

Image
Vieille photo en rapport avec rien (mais jolie).

Mais je l'aime bien. Prise au Rolleiflex sur le port de Trouville.

9/12/25 photo

L'effet de levier

Pour comprendre l'effet de levier en finance, imaginez qu'on vous livre un jour une machine qui a la propriété suivante :

Lorsqu'on insère 100€ d'un côté, un an plus tard, il en sort 130€ de l'autre.

Si vous êtes rationnel (et gourmand), votre premier élan devrait être de chercher à y insérer autant d'argent que possible.

Au point qu'il serait même profitable d'aller emprunter à vos amis, à la banque, où vous pouvez, et de tout mettre dans la machine...

À condition (et c'est une condition importante) que le taux d'emprunt soit inférieur au taux de rendement. Autrement dit, ce n'est intéressant que si la banque vous demande moins de 30€ d'intérêt sur l'année.

Cette schématisation représente comment les financiers voient les entreprises.

Ils ne se soucient pas des rouages internes, seulement du rendement financier. Et si ce dernier est supérieur au taux d'emprunt, alors ça vaut le coup d'emprunter pour investir.

Et pour moi, c'est la même chose en méditation.

J'ai compris un jour que le taux de rendement de la méditation sur mon bien-être était plus important que j'imaginais.

Donc, ça valait le coup d'emprunter du temps à mes autres activités (qui avaient un rendement moindre) pour l'investir dans la présence et la clarté.

C'était une décision assez radicale, à l'époque.

Je ne la regrette pas.

8/12/25 société présence

L'esprit de Noël =(

Toutes les notes et vidéos que je poste en ce moment portent sur la présence.

Comment trouver la paix dans l'instant sans créer d'objectifs ni d'attachements artificiels ; comment atteindre une joie pure qui ne dépend pas de la satisfaction d'un besoin fabriqué ; comment ne pas tout miser sur le futur ; etc.

Et pendant ce temps...

On demande aux enfants d'écrire une lettre au Père Noël pour faire la liste des nouvelles acquisitions qu'ils feront dans un mois. On crée de l'excitation à partir d'une anticipation fabriquée de toute pièce. On transforme le présent en une période d'attente ancrée dans la consommation.

Comme tant de traditions devenues aujourd'hui si naturelles, il m'est difficile de ne pas y voir nos plus bas instincts marchands à l'œuvre. C'est devenu un réflexe de consommation qu'on ne questionne plus, pour soutenir une croissance qui détruit tout.

Autrefois, Noël était la fête des lumières.

Au milieu de l'hiver et de la nuit perpétuelle, on accrochait des lumières pour célébrer le retour progressif du soleil.

Puis le capitalisme est passé par là.

6/12/25 présence société

Accepter l'angoisse

En général, on fait tout pour l'éviter.

Quand on ressent l'angoisse monter, on l'associe à un problème, à une peur, à un objectif, alors on agit.

Quelle action pour la faire disparaître ?

Quand cette action ne suffit pas, on essaie autre chose. Ou on le prend personnellement. Un nouvel échec. "Quelqu'un de plus doué que moi aurait su quoi faire", se dit-on.

Sauf qu'il n'y a rien à faire.

L'angoisse doit être vécue. Jusqu'au bout.

Aucune action ne va la chasser ou l'amoindrir. Aucune solution ne va la résoudre.

Surtout qu'en cherchant à agir trop tôt, on ne laisse pas l'angoisse livrer son message. Une partie de vous s'inquiète pour quelque chose. Laissez-la s'exprimer jusqu'au bout. Ne partez pas tout de suite en guerre contre autre chose.

Puis, une fois l'émotion passée, retournez à vos activités.

Une transformation intérieure s'est produite.

Cette transformation contribuera davantage à votre bien-être que toute action échafaudée dans la panique.

--

En lien :

5/12/25 anxiété présence

L'avantage des vidéos

Je fais en ce moment une série sur la méditation dans mes vidéos quotidiennes.

Depuis le début, j'utilise ces vidéos pour me répéter les concepts que j'ai compris intellectuellement mais que je n'applique pas assez au quotidien. Et au lieu de me faire une note à usage personnel, je l'exprime dans un post à usage collectif.

Gros avantage : ça m'oblige à mettre en mots clairs, pour des gens qui ne sont pas forcément versés là-dedans, des concepts dans lesquels je baigne depuis plusieurs années. Je dois formuler le contexte, l'objectif, la méthode.

Ça remet de nombreuses idées au clair, même pour moi.

--

En lien :

4/12/25 journal présence social création

Foi et présence

La foi est nécessaire à la présence.

La présence, c'est être pleinement immergé dans ce qu'on fait.

C'est être plongé dans le présent, dans les sensations, dans l'activité, sans porter aucun jugement ni n'échafauder aucun plan. On se contente de faire du mieux qu'on peut, sans penser au reste.

C'est une façon de procéder qui inquiète, parfois.

Si on ne prévoit rien, que va-t-il se passer après?

Ne devrais-je pas aussi un peu anticiper le futur, préparer la suite ? Sinon, est-ce que je ne prends pas le risque de me retrouver le bec dans l'eau ?

C'est ici que la foi intervient. Elle dit ceci :

La meilleure façon pour l'activité suivante d'apparaître, c'est de faire bien celle qui m'occupe maintenant. Si je suis entièrement présent dans l'instant, la suite va se dessiner toute seule comme une conséquence naturelle. Il n'y a rien à prévoir.

Si je commence à anticiper, en revanche, cela signifie que je ne suis plus entièrement à ce que je fais. Une partie de moi n'a pas confiance et préfère échafauder des plans. L'intellect prend le relais de l'action. On n'est plus dans le flot.

Pour être soi, il faut avoir la foi que le futur surviendra comme une conséquence naturelle du présent pleinement vécu.

--

En lien :

3/12/25 présence productivité

Ça s'accélère

C'est marrant comme mon activité personnelle et professionnelle – qui sont pourtant assez déconnectées – continuent à progresser en même temps.

Au point que ça pourrait devenir presque intimidant par le nombre de choses à faire dans une journée.

Note de blog, vidéo perso, vidéo pro, répondre aux commentaires et aux messages, les visios clients, les devis, les requêtes... et puis le travail lui-même !

Si j'y pensais le matin, je pourrais me sentir débordé.

Donc je n'y pense pas.

Je médite. Je me concentre sur le présent. Avec la confiance que quand il sera temps de faire quelque chose, ça viendra tout seul.

Oui, ça marche. Pour l'instant.

Mais surtout parce que mon activité personnelle et professionnelle sont alignées. Les deux me parlent. Je les fais naturellement. Je n'ai pas à endosser un costume qui ne serait pas moi.

Je continue à être, et le travail se fait.

2/12/25 journal productivité présence

C'est toujours la solution

Perdu·e dans la vie ? Plus sûr·e d'où aller, de quoi faire, de l'objectif à poursuivre ?

Pose ton attention sur le présent.

Fatigué·e ? Pas dans ton assiette ? L'impression de ne pas être là où tu devrais, de rater ta journée ?

Pose ton attention sur le présent.

Le présent, c'est  le courant d'air. La tension dans la nuque. La lumière de la voiture qui clignote. Le vert des plantes qui balancent dans le vent. La lumière du ciel. L'odeur du café.

Dans ce présent immédiat et sans cesse changeant, plus de place pour l'histoire que tu te racontes.

C'est elle qui te met dans cet état.

--

En lien :

1/12/25 anxiété présence

Ciné Bistro =(

Pour être gentil, on va dire que c'est "davantage un lieu d'été".

Ça fait plusieurs semaines que ma mère m'encourage à aller voir le Ciné Bistro ouvert par Claude Lelouch sur le port de Trouville. C'est à côté de chez moi, c'est sur le thème cinéma (mon truc, normalement) et il a ouvert le jour de mon anniversaire.

Alors aujourd'hui, par un dimanche ensoleillé, j'ai voulu y aller déjeuner.

Et je suis ressorti très vite.

Ce qui m'a gêné, même ahuri, c'est qu'ils aient réussi à faire du meilleur emplacement de Trouville – directement sur le port, donnant sur la jetée – un lieu aussi sombre. À part pour deux fenêtres qui donnent vers la plage, on se croirait dans une boîte de nuit. Sombre, éclairé par des guirlandes, avec de la musique de soirée. (J'imagine que c'est pour les projos et le côté cinéma.)

Je n'ai pas eu le courage de dépenser 19€ pour un club sandwich à manger dans le noir alors qu'un beau soleil d'hiver m'attendait dehors.

Alors oui... sur les chaises sont inscrits les noms de grands acteurs et actrices... Il y a des affiches et des photos de cinéma... Mais tout ça fait très artificiel pour moi.

Honnêtement, ça m'a rappelé le "Festival du film culte" que Karl Zéro avait organisé à Trouville : le cinéma est un prétexte pour créer une pseudo-proximité avec des célébrités qui n'en ont rien à foutre. Il n'y a pas de véritable démarche derrière.

Je suis allé manger des moules sur le port.

30/11/25 journal films

Matin vénère

Pourtant j'ai médité ce matin. C'est un jour plus calme – enfin, pas plus calme, beaucoup de choses à faire, mais pas trop de travail.

Mais voilà : de mauvaise humeur.

Peut-être le retour d'avion. Peut-être la bouffe. Les nerfs qui se relâchent.

Voilà au moins une erreur que je ne fais plus : penser que le sujet qui a déclenché l'énervement est la source. Ah ah ! Je ne me fais plus avoir aussi facilement. La preuve : je suis passé à autre chose et cette deuxième idée m'a énervé aussi.

Alors tu vois.

J'aurais pu repousser l'écriture de cette note à après. Quand ça irait mieux. Écrire encore une connerie sur la méditation. "Oh, mais il faut poser son attention sur gna gna gna..."

Mais non, c'est tout le secret maintenant : je n'attends plus que les choses aillent bien.

D'ailleurs, je n'espère plus que les choses aillent bien.

Je fais maintenant. Avec ce qui est là. J'accepte.

Bordel.

29/11/25 journal présence anxiété

Barcelone

Quand je poste une photo, c'est que je n'ai pas eu le temps d'écrire une note.

Et quand je poste une photo pourrie, c'est que je n'ai pas eu le temps de prendre de belles photos.

Et quand même la légende est pourrie, c'est vraiment que tout part en Volvo.

Image
Marché de Barcelone où j'ai mangé des tortillas.

Pourtant, c'était un déplacement professionnel passionnant, qui s'est très bien déroulé, où j'ai rencontré des gens supers.

Mais justement. Si tu trouves le temps d'ajouter des enluminures magnifiques à ton journal intime, c'est peut-être que ta vraie vie est pourrie.

28/11/25 journal chezfilms photo création

La recette du riz aux échardes

Réveillé en pleine nuit avec cette idée de recette très claire dans ma tête :

Recette du riz aux échardes
(20 minutes, niveau facile)
Mélangez un bol de riz avec une grande quantité d'échardes qui vont parfumer le plat mais qu'il ne faut surtout, surtout pas avaler.

Qu'essaie de me dire mon cerveau exactement ?

27/11/25 humour

Gardons Contact !

Contenus exclusifs, derniers films, invitations aux évènements... Ne dépendons pas des réseaux pour garder contact 🙂