Scénario de long métrage en anglais. Quart de finale Los Angeles Screenplay Awards.

Scénario de comédie dramatique située en Angleterre :

Un metteur en scène irascible rassemble ses employés mécontents, actuels et anciens, dans son manoir britannique pour faire une demande alarmante : qu'ils soient témoins de son suicide imminent.

Pays
Angleterre
Année
2028
Durée
100'
Avancement
Développement

Retours sur le scénario

Retour Compétition Screencraft (traduction):

Les dialogues sont parmi les meilleurs que j'aie jamais lus dans un scénario. Ils jonglent habilement entre l'humour et l'émotion, déclenchant des éclats de rire sincères (la petite Abi à la page 82 est absolument hilarante) ainsi que quelques larmes. L'histoire dévoile une profondeur authentique dans ses personnages ; ils vous tiennent en haleine à chaque instant, en particulier le Majordome, dont la personnalité est si captivante et complexe que chaque apparition à l'écran est un régal. Les relations entre les personnages, en particulier les trois principaux, Annie, Evelyn et Stefan, tissent une toile à la fois tendre et déconcertante d'égoïsme et de pardon. L'intrigue donne presque l'impression d'un "whodunit", se préparant à être un autre "Knives Out" ou "Gosford Park", mais le mystère est déjà résolu – cette histoire porte plutôt sur l'acceptation de la réponse. C'est une approche intéressante d'une prémisse simple mais dévastatrice. Evelyn incarne à merveille un septuagénaire acerbe, quelqu'un qui a en grande partie accepté son sort mais qui ne peut s'empêcher de provoquer ceux qui l'entourent. Les vieilles habitudes ont vraiment la vie dure, et c'est grâce à ceux qui l'entourent qu'ils parviennent à voir au-delà de son extérieur piquant et à reconnaître l'être humain authentique qu'il est. Annie est vraiment hilarante mais complexe, et les personnages secondaires se voient également attribuer des dialogues merveilleusement ciselés qui fusent de leurs langues aussi tranchantes que des lames de rasoir. Les multiples références aux pièces de théâtre s'intègrent parfaitement dans ce décor, offrant à la fois des moments d'humour exquis et des instants d'introspection philosophique.

Retours Festival du Film d'Austin (traduction):

Dans l'ensemble, "The Stagemaster" est une comédie noire qui réussit à être drôle du début à la fin tout en concluant par un commentaire poignant sur la mort. L'auteur excelle à créer des personnages uniques et bien développés ainsi qu'un dialogue astucieux. L'élément mystère est un subterfuge ingénieux de l'intrigue, car il suscite chez le public des attentes de "whodunit" pour mieux les détourner avec humour. L'auteur excelle à écrire des dialogues humoristiques propres à chaque personnage. Le discours de Max à la page 6, alternant entre une conversation et des répliques délivrées sur scène, est très drôle. Les multiples ratés d'Annie lors de son discours sur la façon dont elle est devenue une femme émancipée sont à la fois amusants et révélateurs de la personnalité d'Annie. Les dernières répliques de Stefan à Evelyn à la page 96 sont étonnamment poignantes et émouvantes.

Scénario