Un article en première page de l'édition U.S. du New York Times ce weekend qu'on aurait difficilement pu imaginer il y a quelques années.
Seulement en anglais mais si je résume : la confiance placée dans le marché et la libéralisation après la chute de l'URSS – époque où certains parlaient d’une "Fin de l'Histoire" – montre ses limites de façon de plus en plus patente. Non seulement la globalisation n'a pas amené la paix, ni transformé les dictatures en démocratie, ni mis fin à la pauvreté, mais nous vivons dans une des époques les plus inégales de l'Histoire que les changements à venir – énergétiques, climatiques et socio-politiques – risquent d'accroître dans des proportions qu'il est difficile d'imaginer.
Rien de très nouveau, donc, pour qui se tient au courant.
La nouveauté, c'est que ça soit en première page du New York Times.