J'ai mené ces deux derniers jours une "expérience stoïcienne" – je vous raconterai – qui m'a mené en soirée au cimetière de Trouville où je n'étais encore jamais allé et qui, contrairement à ce qu'indiquait le panneau, était encore ouvert. Ou mal fermé.

J'en ai fait le tour. Plus grand que j'imaginais (les Trouvillais ne font rien qu'à mourir) et très paisible.

Le cimetière de Trouville le soir, tranquillou.

Et comme, à l'allée, c'était aussi la première fois que je traversais la résidence de retraités, ça m'a inspiré, au retour, ces lignes qui pourraient faire un début de roman :

Le cimetière est là-haut, au bord de la ville.

La maison de retraite est à côté du cimetière.

La quartier pauvre longe la maison de retraite.

L'école publique est au milieu du quartier pauvre.

M. Grandpierre est directeur de l'école publique.

Et ce matin-là, le nouveau maire est venu voir M. Grandpierre.

Je vous laisse écrire la suite, j'ai autre chose à foutre. Bisou.