C'est Pas la Plage, C'EST LA MER
Ça n'a rien à voir et je considère donc que je n'ai pas renié mon engagement.
Malheureusement, je crois que vous vous farcirez des photos de plage jusqu'à ce que je déménage.
Photographique numérique et argentique.
Ça n'a rien à voir et je considère donc que je n'ai pas renié mon engagement.
Malheureusement, je crois que vous vous farcirez des photos de plage jusqu'à ce que je déménage.
J'utilise l'appareil photo de mon téléphone pour prendre des photos de mon fils ou – comme vous le savez – beaucoup trop de photos de plage. Hier soir, j'ai découvert la fonction photo de nuit qui est assez impressionnante.
Ça m'a fait penser à tout ce qu'on devait mettre en place autrefois pour faire la même chose – OK, pas si terrible : juste un trépied. Mais quand même, le progrès.
Retrouvé dans un vieux meuble les photos prises à New York où j'avais invité ma mère il y a dix ans. À l'époque, je faisais beaucoup d'argentique et au retour, on avait organisé une petite expo dans un bar. (Les photos ont fini par y rester plusieurs années.)
Voici quelques scans de négatifs sans correction ni filtre. C'est la force de l'argentique et de la pellicule ektar : des couleurs pleines, un contraste naturel qui conserve une forte dynamique. Rien n'est jamais complètement brûlé : même dans les ciels et les reflet, on trouve un peu de matière. Leica M6 et Summicron 35 et 50mm.
Ça donne envie de s'y remettre.
J'ai utilisé ces photos pour habiller le site en attendant de trouver mieux. Comme j'ai trouvé une mine, j'en posterai sûrement d'autres prochainement.
Journée de mise en place pour un projet que je produis et réalise avec ChezFilms pour les Ponts et Chaussées. Aujourd'hui : test grandeur nature dans le studio avant le tournage des interviews qui débute la semaine prochaine.
Projet commencé en novembre qui durera jusqu'à l'été. J'en reparlerai.
J'ai mené ces deux derniers jours une "expérience stoïcienne" – je vous raconterai – qui m'a mené en soirée au cimetière de Trouville où je n'étais encore jamais allé et qui, contrairement à ce qu'indiquait le panneau, était encore ouvert. Ou mal fermé.
J'en ai fait le tour. Plus grand que j'imaginais (les Trouvillais ne font rien qu'à mourir) et très paisible.
Et comme, à l'allée, c'était aussi la première fois que je traversais la résidence de retraités, ça m'a inspiré, au retour, ces lignes qui pourraient faire un début de roman :
Le cimetière est là-haut, au bord de la ville.
La maison de retraite est à côté du cimetière.
La quartier pauvre longe la maison de retraite.
L'école publique est au milieu du quartier pauvre.
M. Grandpierre est directeur de l'école publique.
Et ce matin-là, le nouveau maire est venu voir M. Grandpierre.
Je vous laisse écrire la suite, j'ai autre chose à foutre. Bisou.
En fouillant dans le grenier, j'ai retrouvé ces portraits de mon ancêtre Algar Ebenezer Boulengeman, trappeur dans les grandes plaines du Canada :
Incidemment (et sans aucun lien), j'ai aussi aussi fait des photos sur verre ("au collodion") sur la plage de Trouville cet après-midi mais ça n'a rien donné alors je ne vous les montre pas.
Suivez les aventures de Thomas le photographe sur sa page instagram (mais c'est privé et vous n'êtes probablement pas assez cool pour entrer).
On dirait que les fois où je n'ai pas le temps, je pourrais aussi poster des photos des derniers jours même si elles n'ont pas un intérêt démesuré. Trouville, comme d'hab.
Ça me rappelle cette citation que je ressors souvent aux jeunes créateurs pour les libérer de l'angoisse quand ils se lancent (pas sûr que ça les aide mais moi ça me rassure) :
"Vos 10 000 premières photos sont vos pires photos."
– Henri Cartier-Bresson