Description

Films, pièces, expos

Nouvelle soirée culture surprise (SCS, nouveau sigle !).

Je n'y vais pas souvent mais à chaque fois, j'en sors transformé.

Encore allé au théâtre par surprise hier soir où j'ai vu Contre-Temps, de Samuel Sené. Formidable !

Deux films sur le féminisme et le passage à l'age adulte dont les premières trente minutes m'ont fait me demander : "Ils ne comptent pas faire un film entier avec ça ?".

En ces périodes de fête, une chanson qui célèbre l'amour. (Pas l'amour possessif et dégoulinant des comédies américaines, celui pur et immédiat de la sagesse orientale.)

Récemment, je retourne au théâtre.

Ouais, je sais pas ce qui me prend : sûrement un début de dépression.

Je suis retourné par hasard au squat 59 Rivoli.

Avant, je faisais la blague que seule ma mère listait ce blog.

Récemment, j’ai eu la preuve que même pas.

Aux Franciscaines pour travailler. Je vois qu'il y a une installation immersive qui commence dans 5 minutes.

J'ai décidé de ne pas renouveler mon abonnement au New York Times et au New Yorker pour voir ce que ça fait. Ne pas m'engoncer dans mes habitudes de lectures et découvrir de nouvelles pistes.

La pièce m'avait tellement plu que je leur ai fait une petite captation à l'arrache. Extrait :

Je garde le titre anglais car la traduction française – comme souvent pour les livres de développement personnel – semble avoir été écrite par le charlatan ambulant qui vend des potions au mercure

Aller voir les pièces des mes potes comédiens quand j'étais en école d'acteur m'a dégoutté du théâtre fauché, voire du théâtre tout court.

Comme souvent, j'ai acheté ce livre par hasard parce que je l'ai ouvert au milieu et qu'une phrase m'a plu.

Bien sûr, vous connaissez ce titre depuis belle lurette. Parce que vous êtes cools, vous.

Pour sortir un peu de Six pieds sous terre, The Wire, Mad Men ou The West Wing, il y a une série que j'avais découverte par hasard et qui m'avait épaté.

J'ai éclaté de rire devant cette séquence du documentaire Netflix Le Masque d'Olivier Bouchara et Jérôme Pierrat sur les escroqueries téléphoniq

Je profite d'avoir arrêté au milieu du premier épisode de Mercredi (j'ai essayé d'aller au bout, je promets, j'ai même arrêté puis repris)

Quelques extraits de films que j'ai écrits et réalisés même si ça date un peu :

À Marrakech, je me suis trouvé par hasard au vernissage d'Un Hiver Marocain à la Mamounia, présentant des toiles de Majorell